Un tome 1 intéressant, avec quelques facilités mais qui m’a donné envie de lire la suite !

Kurara est employée dans un hôtel flottant lorsque celui-ci est attaqué par un shikigami, un immense dragon de papier. Sauvée par Himura, pliomage comme elle, elle intègre l’équipage d’un navire chasseur de monstres pour apprendre à utiliser ses pouvoirs. Mais son but est surtout de sauver son ami Haru, blessé lors de l’attaque.

L’écriture est fluide, le rythme dynamique et l’on est très vite emporté par le récit. Kurara et Haru sont sympathiques, encore entre l’enfance et l’adolescence et le monde décrit est proche du merveilleux : cités flottantes, animaux en origami qui prennent vie…

Même si le type de magie n’est pas nouveau, l’influence de la culture japonaise renouvelle le genre.
J’ai malgré tout trouvé certains aspects peu cohérents : le peu de temps passé par Kurara pour maîtriser ses pouvoirs ou l’attitude de Rei…

Un roman addictif, à la fois dynamique et poétique, accessible dès 9-10 ans même si la cible est plutôt ados et jeunes adultes.